in

NLR : carrière à Bras-Panon, la grogne monte chez les habitants

La semaine dernière, les agents de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf), un organisme indépendant de la Commission européenne, qui a pour mission de protéger les intérêts financiers de l’Union européenne étaient à La Réunion dans le cadre de leur enquête.

Ces derniers temps, le chantier alimente les débats dans les espaces médiatiques. Ainsi, en dernier lieu, le spectre de l’exploitation d’une carrière à Bras-Panon agite la communauté locale. Une mobilisation du même type que celle de Bois Blanc est à prévoir pour la population qui ne veut pas que leur territoire soit altéré par l’exploitation des roches. Les activités des agricultures sont menacées.

En 2001, la chambre d’agriculture avait cartographié la répartition d’andins – résultat d’épierrages en bordure de parcelles survenues dans le cadre des PMES (Plan de modernisation économie sucrière) puis des PCES (Plan consolidation économie sucrière) – sur l’île et leur qualité. Justement, les zones de La Réunion les mieux dotées d’andins mobilisables sont la commune de Saint-André, les zones de Bras-Panon, Petit Saint-Pierre et Pierrefonds.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Diagonale des juristes : Rama Yade présidente du jury à l’Université de La Réunion

30 € de redevance pour passer le code de la route