Le 6 mars, Manuel Valls, le ministre des Outre-mer, a entamé une visite de deux jours à La Réunion, marquée par une première étape à la sous-préfecture de Saint-Benoît. Cette visite intervient après le passage du cyclone Garance, qui a causé d’importants dégâts dans certaines zones de l’île.

Lors de cette journée inaugurale, Manuel Valls a été accueilli par les autorités locales pour faire un point sur la situation post-cyclonique et apporter un soutien aux Réunionnais touchés. Le ministre a pu échanger avec les habitants, les élus locaux et les équipes de secours afin de comprendre les défis auxquels la population fait face.

À la sous-préfecture de Saint-Benoît, plusieurs réunions ont eu lieu pour mettre en place des mesures de soutien et de reconstruction. Les infrastructures et les dispositifs d’urgence ont été évalués en vue de renforcer la résilience de l’île face à de futurs phénomènes climatiques extrêmes.

Au programme des deux jours de visite, le ministre a également prévu de rencontrer d’autres acteurs clés, notamment les responsables du secteur agricole, des autorités sanitaires et des responsables de la gestion des risques naturels. Ces rencontres ont pour but de coordonner les efforts de relèvement rapide après le cyclone et d’anticiper les besoins futurs.

La visite de Manuel Valls s’inscrit dans un contexte où les Réunionnais, bien qu’habitués aux cyclones, doivent faire face à des défis de plus en plus importants liés aux conditions climatiques extrêmes. Le ministre a souligné l’importance de la solidarité nationale pour surmonter ces épreuves et a assuré du soutien de l’État à l’île.

Les échanges lors de cette visite se concentrent sur l’amélioration de la gestion des catastrophes naturelles, le renforcement des infrastructures, et le soutien économique pour les secteurs les plus touchés. Manuel Valls a également évoqué les perspectives de financement pour la reconstruction et la modernisation des infrastructures vulnérables.

Les deux jours à La Réunion devraient permettre d’aboutir à des solutions concrètes pour la reprise rapide de l’île après le passage du cyclone Garance et de renforcer la coopération entre l’État et les autorités locales pour anticiper d’autres événements climatiques à venir.