Le rappeur français Lomepal est visé par une troisième plainte pour viol, déposée le 21 mai 2024 par une femme âgée de 33 ans. Cette nouvelle accusation s’ajoute aux deux plaintes déjà déposées contre lui en 2020 et 2023.

Selon Mediapart, qui a révélé l’information, les faits incriminés par la troisième plaignante remontent à janvier 2017. La femme accuse le rappeur de l’avoir violée chez sa mère, dans le sud de Paris. Elle affirme avoir dit “non” à plusieurs reprises à Lomepal, mais qu’il n’a pas tenu compte de ses refus.

Lomepal nie les accusations portées contre lui. Dans une déclaration écrite transmise à Mediapart, il a déclaré : “Je n’ai jamais commis de viol”. Le rappeur a également indiqué qu’il n’avait “jamais eu de relation sexuelle” avec la plaignante.

Cette nouvelle accusation porte un nouveau coup à l’image de Lomepal, qui est l’un des rappeurs les plus populaires en France. Il est à noter que les accusations de viol sont très graves et qu’il est important de présumer l’innocence de Lomepal jusqu’à preuve du contraire.

L’affaire est actuellement entre les mains de la justice. La première plainte pour viol avait été classée sans suite en 2021, mais les deux autres plaintes font toujours l’objet d’une enquête.

Cette affaire soulève une nouvelle fois la question du consentement sexuel et des violences sexuelles. Il est important de rappeler que le consentement doit être libre et explicite, et qu’il peut être retiré à tout moment.

Si vous avez été victime de violences sexuelles, vous pouvez contacter le 3919. Il s’agit d’un numéro national d’aide aux victimes d’agression sexuelle, qui est gratuit et anonyme.

Voici quelques ressources supplémentaires :

• Le Collectif féministe contre le viol
• L’association Enfance et Partage
• Le Collectif féministe Les Chiennes de Garde

Il est important de ne pas juger Lomepal sur la base de ces accusations. Seule la justice peut déterminer s’il est coupable ou non.

En revanche, il est important de se mobiliser contre les violences sexuelles et de soutenir les victimes.