Le 14 octobre, le président de la République avait annoncé le déploiement d’une nouvelle aide spéciale pour les familles à faibles revenus « comme au printemps » où chaque famille bénéficiant du RSA peut recevoir 150 euros d’aide, et 100 euros supplémentaires pour chaque enfant.
Depuis le 5 novembre (jeudi) date de publication au Journal officiel du décret n ° 2020-1343, une nouvelle mise à jour vient de faire son apparition. Certains revenus ont été exclus du calcul du montant jusqu’à présent. En tout, trois revenus ne seront plus pris en compte dans le calcul du revenu de solidarité active (RSA) et des primes d’événement.
C’est le cas de l’indemnisation d’invalidité (PCH) et toutes ses composantes. Il en va de même pour le montant de l’indemnisation que reçoit l’aidant familial en vertu de la PCH. Enfin, l’allocation journalière du proche aidant n’est elle aussi plus prise en compte.
Qui est éligible au RSA ?
Pour mémoire, pour pouvoir bénéficier de cette aide, il faut vivre en France de manière stable. Sont éligibles ceux qui n’ont pas la nationalité française, mais résident régulièrement en France. Si le temps de séjour est inférieur à trois mois, les Français résidant à l’étranger peuvent bénéficier du RSA. Si l’itinéraire dépasse cette date, vous devez informer votre CAF du changement de circonstances.
En termes d’âge, pour bénéficier du RSA, vous devez avoir au moins 25 ans. Cependant, les personnes de moins de 25 ans peuvent bénéficier d’une assistance dans certaines circonstances, notamment si elles ont un enfant à charge ou une mère enceinte dans la famille. Enfin, sous certaines conditions, vous pouvez bénéficier d’un appareil spécifique appelé RSA Young.