Une étude récente de la Drees révèle une augmentation inquiétante des hospitalisations pour automutilation chez les jeunes femmes de 10 à 24 ans en France au cours des 15 dernières années.
Les chiffres exacts concernant les jeunes femmes n’ont pas été fournis, mais l’étude a souligné la gravité globale du problème. Rien qu’en 2022, 85 000 personnes ont été hospitalisées pour des blessures auto-infligées.
Facteurs contributifs possibles
Bien que l’étude elle-même n’examine pas les raisons de cette augmentation, les experts ont souligné plusieurs facteurs possibles, notamment :
- Utilisation accrue des médias sociaux et impact potentiel sur la santé mentale
- Pression pour réussir sur les plans académique et social
- Anxiété et stress liés aux perspectives d’avenir
Cherche de l’aide
Si vous avez des pensées d’automutilation, il est important de savoir que vous n’êtes pas seul. De l’aide est disponible et il y a des gens qui se soucient de vous.
Voici quelques ressources qui peuvent vous aider :
- Contactez un adulte de confiance : un parent, un enseignant, un conseiller ou un autre adulte avec qui vous vous sentez à l’aise de parler peut vous apporter soutien et conseils.
- Appelez une ligne d’assistance : il existe des lignes d’assistance confidentielles disponibles 24h/24 et 7j/7 qui peuvent vous offrir une assistance et vous mettre en contact avec des ressources locales. Vous pouvez trouver une ligne d’assistance dans votre région avec une recherche rapide en ligne.
- Recherchez l’aide d’un professionnel : un thérapeute ou un conseiller peut vous fournir un soutien professionnel et développer des mécanismes d’adaptation pour vous aider à gérer les émotions difficiles.
N’oubliez pas que l’automutilation est un problème grave, mais qu’il peut être soigné. Avec de l’aide et du soutien, vous pouvez développer des façons plus saines de faire face aux défis et d’améliorer votre bien-être mental.