Fabrice Wislez, photographe de son état, mais pas seulement, à inaugurer sa première exposition intitulée «Zarboutans passeurs de mémoire», travail personnel de sauvegarde de mémoires familiales.
Photographe et podcaster, Fabrice Wislez, 48 ans, se passionne depuis quelques années pour la sauvegarde de mémoires familiales. Il parcourt l’île, son appareil photo en bandoulière et le micro à la main pour aller à la rencontre de zarboutan.
Un zarboutan en créole désigne un pilier et quelqu’un sur qui l’on peut compter. C’est à travers cette idée que l’artiste de 48 ans a parcouru l’île pour partir à la rencontre de “zarboutans” à interviewer. “Un projet prévu depuis 2020 qui voit enfin le jour” note Fabrice Wislez.Ces personnes qui acceptent d’être enregistrées et photographiées racontent leur histoire, leurs témoignages à écouter sous forme de podcast (enregistrement audio). Chaque témoin est identifié par un numéro de zarboutan son nom, une photo et un texte de présentation.
L’artiste vous invite de découvre son projet à travers son site web: