Ouragan, séisme, tremblement de terre, la situation météorologique se transforment en une calamité pour les scientifiques. À la suite d’une série de cataclysmes ayant détruit de nombreux pays et région : Japon (sur les îles Bonin), Mexique (vendredi 8 septembre, magnitude de 8,2), Floride, Texas, île de Saint-Martin, les débats sur les causes s’enchaînent. De son côté, le Président Emmanuel Macron décide de mener une lutte contre cette condition dans une approche de protection environnementale.
Selon l’enquête de la presse La Rédaction Digitale de la Liberté avec les scientifiques et chercheurs comme François Gervais, ces phénomènes naturels s’aggravent. Certes, les autorités compétentes négligent certains points essentiels dans la lutte contre le changement climatique. Lors d’un interview, le climatologue Roy Spencer affirme qu’aucune relation n’existe entre les ouragans qui frappent les États-Unis et la hausse de la température dans le Golf de Mexique. À ce propos, ce professeur de l’Université d’Alabama ajoute sur sa déclaration lors d’une revue de presse en 2016 qu’il ne s’agit pas d’un changement climatique, mais juste d’une manifestation excessive différente.
En résumé, ces phénomènes naturels dévastateurs n’ont aucun lien entre eux, mais qu’il s’agirait d’une hausse de température ou pression atmosphérique passagère.
Les divergences d’idées sur les phénomènes se répandent sur la scène politique. D’après une colloque d’une société américain de géophysique à San Francisco en 2011, les chercheurs supposent que les intempéries peuvent causer des séismes, car elles entrainent un glissement de terrain et provoquent ainsi, une pression sur les plaques tectoniques.