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Une étude scientifique révèle l’utilisation régulière des eaux réunionnaises par les cachalots nains

Une nouvelle étude scientifique dirigée par Violaine Dulau, directrice scientifique de Globice, met en évidence l’utilisation régulière des eaux autour de l’île de la Réunion par les cachalots nains ( Kogia sima ). Cette découverte contribue à améliorer les connaissances sur cette espèce encore peu étudiée.

Le genre Kogia et ses espèces

Le genre Kogia regroupe deux espèces principales : le cachalot nain ( Kogia sima ) et le cachalot pygmée ( Kogia breviceps ). Ces cétacés, difficiles à observer en raison de leur comportement discret en surface, sont parmi les moins étudiés. Les informations sur leur écologie proviennent principalement de spécimens échoués.

Les cachalots nains sont généralement présents dans les eaux tropicales et sub-tropicales, tandis que les cachalots pygmées préfèrent les eaux plus tempérées. Bien que les deux espèces aient été observées dans l’ouest de l’océan Indien, les données sur leur distribution et leurs habitudes étaient limitées.

Méthodologie de l’étude

L’étude repose sur une analyse de plusieurs sources de données, telles que :

  1. Enquêtes aériennes et maritimes : Observation directe des cétacés à la surface de l’eau.
  2. ADN environnemental (eDNA) : Utilisation de l’ADN extrait de l’eau pour détecter la présence des cachalots nains.
  3. d’échouages ​​: Informations recueillies à partir de cétacés Données échouées sur les plages.

Crédit Photo : Globice

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