Il faut s’armer de patience pour se rendre au bureau ces derniers temps. Avec la série d’incidents qui s’est produite ces dernières semaines, conduire devient un véritable chemin de croix, il faut affronter les bouchons parfois monstrueux. A terme, c’est un coût important en carburant et en temps. L’on remarque aussi que; souvent, les voitures sont vides. Il y a uniquement le conducteur. On serait alors tenté d’imaginer un scénario qui désengorgerait aussi bien la Route du littoral tout en contribuant à combattre le fléau du siècle : le surpoids.
Imaginons qu’on laisse son véhicule à l’entrée de la Route du littoral et que l’on utilise un vélo, du genre velib par exemple. Cela permettrait de faire d’une pierre deux coups : il s’agit de faire du sport et de protéger l’environnement. Car même si elle n’en est pas l’unique responsable, la voiture contribue à instaurer le système de « nomadisme ». C’est-à-dire que l’on n’utilise rarement son corps : à l’image du métro, boulot, dodo. Or des scientifiques ont établi que la dépendance à des formes motorisées de transports pourrait contribuer à l’épidémie universelle d’obésité. La motorisation contribue à l’obésité en remplaçant une forme active de transport – le vélo ou la marche – par une forme passive. L’idée est donc lancée, avis aux amateurs