in

Hommages à Claude Vinh San

Claude Vinh San, le dernier Prince de Bourbon n’est plus, mais il restera à jamais graver dans la mémoire de tous, et surtout pour ceux qui apprécient le jazz tropical. Il est parti dans une discrétion sereine et effacée, propre aux Orientaux. C’était un homme de valeur, courtois, d’une élégance sans pareil, autant au niveau moral que physique. Toujours à disposition pour autrui comme il l’a été avec Didier Jeannette et Duy Tan Vinh San, son père le dernier empereur d’Annam, ce fut avant tout un musicien, un compositeur et un écrivain de renom. Il laisse derrière lui de la nostalgie et l’histoire unique d’un personnage inoubliable.

Crédit Photo: Marie-Claude Vinh-san

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Freedom évolue maintenant dans l’ère numérique

Turquie : coup d’État avorté, au moins 265 morts et 1500 arrestations