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Panama papers : La Réunion et l’océan Indien mouillés

Près de 2,6 To de données. L’affaire Panama papers est la plus grande fuite de données sur les paradis fiscaux. Les dossiers mettent en cause chefs d’Etat, sportifs et milliardaires. Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.

 

Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015 concernent également La Réunion. Le département est présent sur la carte interactive rendue publique dans cette affaire.

 

La Réunion n’est pas la seule dans l’océan Indien : Madagascar, Maurice et les Seychelles sont concernées. Mention spéciale pour l’île Maurice avec quelque 1217 compagnies concernées. Pour La Réunion, un  code interne aux « Panama Papers » a été créé. De plus, plusieurs entités avec “Reunion” dans leur nom y figurent. Vu la quantité phénoménale de données analysées, il faudrait encore attendre quelques jours pour en savoir plus.

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