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Les intempéries relancent le débat du pont au Ouaki

Les intempéries liées au passage d’une dépression tropicale mettent de nouveau sur la table le débat sur Ouaki, situé sur la RD3. En effet, et comme à l’accoutumée, le radier qu’empruntent les usagers de la route – en provenance de la Rivière Saint-Louis, du Tapage, du Petit-Serré ou encore de Cilaos en direction de Saint-Pierre ou du Tampon – est inondé et impraticable à chaque grosse pluie ou cyclone.

Beaucoup militent donc pour qu’une solution plus pérenne soit adoptée : la construction d’un pont. Gilles Play, responsable de la cellule Entretien-Exploitation-Sécurité des routes départementales avait estimé que la construction d’un pont sur ce lieu est techniquement et financièrement difficile. Un pont de 300 mètres de long aurait une durée de vie de quatre à cinq année et coûterait près de 40 millions d’euros. Reconstruire un radier coûterait grosso modo 600 000 euros.

Le budget de la construction du pont équivaut donc à près de 66 fois celui de la reconstruction systématique du radier. Or, chaque année des épisodes pluvieux importants surviennent sans parler des cyclones très fréquents. Le radier du Ouaki est géré par le Conseil Départemental (l’UTR).

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