Avec la sécheresse, ce sont les prix qui se mettent à flamber. Le week-end dernier, les tomates étaient vendues à 2,5 à 3 euros le kilo sur les étals de l’île. Si la situation continue ainsi, les consommateurs réunionnais devraient payer cher pour cet élément incontournable de la gastronomie ou, à défaut se rabattre sur les tomates en boite. Alors, pourquoi ne pas relancer le débat sur l’importation de la tomate de la grande île ? L’ail vient bien d’Inde et les carotte d’Australie…
En 2013, une tentative a échoué laissant à quai de nombreux centenaire malgache chargé de tomate en cause un doute sanitaire sur les produits. Les autorités portuaires sous la pression des agriculteurs n’ont pas pu laisser passer les produits. Dès lors que les producteurs malgaches pourront montrer patte blanche, la donne ne sera plus la même…